BENJAMIN MAPPIN-KASIRER
Au XXIe siècle, la question du « réel » est redevenue actualité. Apprêtée désormais avec le médium de la télévision, le « réel » s’est vu immensément popularisé par les compagnies de production et les chaines de diffusion qui raffolent de sa nouvelle expression: la téléréalité. À toute heure de la journée, les péripéties quotidiennes de célébrités et de gens ordinaires inondent les ondes et les écrans. Ce phénomène, bien que rejeté par plusieurs comme stérile et vain, a pris une ampleur irréfragable dans la culture populaire de notre ère. Or, la question s’est rapidement complexifiée. Le grand succès du genre a aussi engendré une supercherie étonnante : certaines émissions se prétendent téléréalité, mais suivent en fait un scénario. Nombre de spectateurs avides remarquèrent des aberrations dans la narration et dans le décor de leurs émissions favorites, et les chaines de diffusions avouèrent leur fraude. Ces évènements soulèvent des questions fascinantes : pourquoi notre génération est-elle dédiée à faire du réel un spectacle ? Qu’est-ce que le « réel » et comment le reproduire? Quels éléments narratifs donnent l’impression du réel, au point où on peut tromper le spectateur ?
Pour répondre à ces questions, il n’est pas impertinent de considérer le mouvement réaliste le plus réputé de tous : le réalisme littéraire du 19e siècle. Honoré de Balzac, possiblement l’auteur le plus célèbre du courant, publia Le Père Goriot en quatre feuilletons dans La Revue de Paris entre 1834 et 1835. Le roman connut un flagrant succès. Dans une lettre à son amie et future épouse Mme Hanska, l’illustre écrivain affirme : « ces stupides Parisiens [en] raffolent. »1 Le Père Goriot maintient à ce jour sa popularité singulière, s’étant doté en plus du titre honorifique de chef-d’œuvre du réalisme. Ainsi, c’est le texte idéal pour répondre aux questions ci-haut. Qu’est-ce qui crée, chez le lecteur du Père Goriot, le sentiment du « réel » ? Quels éléments de la narration donnent cette impression ? Sont-ce les détails ? Les maximes et généralités ? La possibilité de s’identifier avec les personnages ?
Cet essai considérera plus spécifiquement un grand thème que partagent Le Père Goriot et la téléréalité : l’argent. En effet, l’argent a souvent été désigné comme moteur du roman de Balzac. Parallèlement, dans le monde de la téléréalité, il n’y a pas de thème plus commun : on pensera entre autres à Joe Millionaire, The Secret Millionaire, For Love of for Money, Who Wants to Marry a Multi-Millionaire ?, etc. Même les émissions qui affichent moins ouvertement leurs implications monétaires offrent aux gagnants une récompense financière. Dans le roman balzacien du XIXe, l’argent est l’aspect narratif en lequel l’auteur offre au lecteur les détails les plus précis. Ainsi, ce dernier ferme le Père Goriot pouvant décliner, tel un catalogue, les prix et dépenses des personnages : l’auteur nous donne le prix d’une paire de gants blancs, d’une voiture de telle à telle rue, l’exact loyer d’une chambre dans une pension bourgeoise décrépite, entre autres. Si le lecteur devait, par hasard, après sa lecture, se charger d’un enterrement en 1819, il saurait exactement quel pourboire verser au fossoyeur. Les prix sont les détails les plus rigoureusement précis du roman: ce sont du moins les plus notables puisqu’ils sont quantifiés. Est-ce là, en ces données quantifiables, que réside l’impression du réel ? Est-ce dans le détail absolu, poussé et exagéré que prend forme le réalisme littéraire ? En se penchant spécifiquement sur l’exemple des valeurs monétaires, cet essai tentera de démontrer que l’impression du réel que ressent le lecteur du Père Goriot a changé depuis le XIXe siècle. En effet, il semblerait que la mission réaliste du texte telle qu’énoncée par Balzac soit plus véritable aujourd’hui qu’il y a deux cent ans, et qu’elle permette de voir la téléréalité de notre époque d’un nouvel œil.
Le Père Goriot recèle de prix énumérés en sous, en centimes, en francs, en livres et en Louis. Le roman dresse un portrait économique de la Restauration bourbonienne. Bien qu’il y ait beaucoup trop de coûts énumérés pour en dresser la liste complète – le mot « argent » est répété 83 fois et le mots « francs, » plus d’une centaine – il est utile d’en cerner certains types distincts pour considérer leurs effets. En premier lieu, l’intrigue prend la forme d’une description hautement détaillée et superbe de la pension Vauquer, qui porte tous les traits de sa propriétaire. Or, ce portrait comprend aussi un élément singulier : les prix de chacune des chambres dans la maison délabrée. Le lecteur sait que la pension de Mme Couture et de Victorine au premier étage « montait à dix-huit cent francs. »2
Puis, nous apprenons que : « Les deux locataires du second ne payaient que soixante-douze francs par mois» et que le père Goriot, Mlle Michonneau et les « infortunés étudiants » comme Rastignac « ne pouvaient mettre que quarante-cinq francs par moi à leur nourriture et à leur logement,» tandis que la dépense des pensionnaires externes se limite à « trente francs par mois ».3 Ici, les données numériques que sont les prix de chacune des chambres servent à établir une hiérarchie économique des pensionnaires. Toutefois, comme nous le démontre le reste de l’histoire, l’argent est souvent trompeur : cette hiérarchie est rapidement bouleversée par les péripéties de l’intrigue.
Une autre catégorie de prix dans le roman se définit dans la négation : ceux-ci tombent, en argot banquaire, « dans le rouge.» En effet, les dettes et les pertes d’argent sont tout aussi cruciales au roman que les gains : la déchéance économique y est omniprésente. L’exemple premier est celui du père Goriot qui vide petit à petit ses poches, se défait mystérieusement de ses richesses matérielles et gravit les escaliers de la pension afin de voir diminuer son loyer. Plus ses filles l’appauvrissent, plus il doit monter d’étages pour se rendre à sa chambre : il commence par donner « douze cents francs de pension, » puis doit se réduire à « tomb[er] dans les neuf cents francs » pour finir au troisième : « le père Goriot réduisit encore ses dépenses, en montant au troisième étage et en se mettant à quarante-cinq francs de pension par mois. »4 Cette ascension vers le haut au fur et à mesure qu’augmente sa pauvreté devient un présage de la fin, quand un dernier coup à la bourse vide du père l’emporte, en martyr, au-dessus même du troisième étage, dans l’au-delà,. Le déroulement de l’intrigue dévoile les causes de la déchéance économique de Goriot : les demandes de ses filles, la terminale étant celle d’Anastasie, ruinée par le penchant pour le jeu de son amant Maxime de Trailles. En fait, les relations d’Anastasie sont particulièrement illustratives du rôle des prix dans Le Père Goriot :
(…) ce n’est pas tout, dit Anastasie à l’oreille de Goriot qui fit un bond. Les diamants n’ont pas été vendus cent mille francs. Maxime est poursuivi. Nous n’avons plus que douze mille francs à payer. (…) Il ne me reste plus au monde que son amour, et je l’ai payé trop cher pour ne pas mourir s’il m’échappait.5
Dans cet extrait, le montant exact des dettes quantifie le désespoir d’Anastasie et par extension, celui de Goriot. Or, il chiffre aussi l’amour d’Anastasie, qu’elle dit avoir « payé trop cher. » Si, comme l’affirme le Père Goriot sur son lit de mort, « l’argent est la vie, » la Comtesse de Restaud trace ici sans équivoque ce lien : son amour a un prix, une valeur quantifiée. Les prix adoptent donc une nouvelle fonction narrative : en plus d’établir clairement la hiérarchie économique centrale au livre, ils dépeignent les émotions des personnages, très souvent reliés à leur états financiers.
Or, Le Père Goriot compte aussi parmi ses pages un tout autre genre de détails quantifiables économiques. Dans son roman réaliste, Balzac énumère une série de prix qui ne servent ni à établir une hiérarchie, ni à montrer la déchéance, ni à accentuer un élément important de l’intrigue. En effet, un grand nombre de prix quelque peu insignifiants sont dissimulés dans les phrases balzaciennes. Un premier exemple survient dans la description de Vautrin: « Un trait de son caractère était de payer généreusement quinze francs par mois pour le gloria qu’il prenait au dessert. »6 Pourquoi insister sur le prix du dessert de Vautrin ? Est-ce pour souligner sa générosité ? Celle-ci s’est déjà vue accentuée quelques lignes plus tôt dans ses interactions avec Christophe. De plus, même si Vautrin paie plus que le coût brut pour ses glorias, pourquoi inclure le prix exact ? La phrase en elle même est curieuse : le prix de ses desserts est présenté comme un trait de caractère. L’étrangeté de ces propos est rappelée lorsque Trompe-la-mort est emporté par la police. Mme Vauquer affirme : « Ce pauvre monsieur Vautrin dont ils ont fait un forçat, (…). Un homme gai comme ça, qui prenait du gloria pour quinze francs par mois, (…)! »7 La valeur exacte des glorias ne joue ici aucun rôle narratif. Il n’établit pas la relation entre les divers personnages. Il ne souligne pas la déchéance économique. C’est un fait complètement trivial.
Et les glorias ne sont pas seules : d’autres prix sont rapportés ainsi, sans fonction narrative évidente, énumérés comme si Balzac voulait faire de son chef-d’œuvre un catalogue de magasin. Nombre d’entre eux sont énumérés pour quantifier l’avarice ridicule de Mme Vauquer, Dans les derniers moments du Père Goriot, elle insiste même sur le coût de la chandelle qu’elle doit « sacrifier » pour venir en aide au mourant. Or, d’autres prix qu’elle mentionne occupent un rôle moins clair. Bien que son avarice ait déjà été affirmée, confirmée et démontrée, pendant la scène du festin, alors qu’on propose du champagne pour célébrer, Mme Vauquer affirme : « Pourquoi pas demander la maison? Deux de champagne! mais ça coûte douze francs! »8 Le rôle de ce prix n’est pas de réitérer l’avarice de la veuve, déjà très explicit. De plus, l’hyperbole « Pourquoi pas demander la maison ? » est encore plus efficace à cette fin que le prix. Le « douze francs » ne souligne pas la déchéance économique, ni la gradation des personnages. Il est en surplus et sa fonction narrative est ambiguë. De plus, ces prix triviaux ne sont pas réservés aux personnages secondaires: alors que Rastignac est aux prises avec les changements vestimentaires qui lui permettront de mieux s’insérer dans la société, il affirme :
Puis-je aller dans le monde quand, pour y manœuvrer convenablement, il faut un tas de cabriolets, de bottes cirées, d’agrès indispensables, de chaînes d’or, dès le matin des gants de daim blancs qui coûtent six francs, et toujours des gants jaunes le soir?9
Dans cet extrait, le prix des gants semble de trop. Si le désir de Balzac était de montrer les dépenses immenses associées au désir de parvenir, pourquoi n’aurait-il pas inclus le prix des autres accessoires énumérés ? Le prix des « chaines d’or », par exemple, choquerait bien plus que celui des gants. Le rôle narratif de cette valeur monétaire est donc nébuleuse, comme celle des glorias. Que faire de ces prix, dont les fonctions narratives sont équivoques ? Comment comprendre leur inclusion dans l’intrigue ?
Dans L’Effet de réel, le célèbre critique littéraire Roland Barthes propose une théorie qui pourra peut-être élucider ces questions. Barthes introduit son essai avec une phrase tirée du conte Un Cœur Simple de Flaubert : « un vieux piano supportait, sous un baromètre, un tas pyramidal de boîtes et de cartons. »10 Il affirme que c’est le détail trivial du baromètre, qui ne contribue aucunement à l’intrigue, qui cause l’effet de réel, source du réalisme : « la carence même du signifié au profit du seul référent devient le signifiant même du réalisme : il se produit un effet de réel, fondement de ce vraisemblable inavoué qui forme l’esthétique de toutes les œuvres courantes de la modernité. »11 Si le coût quantifié du champagne, des gants et des glorias ne contribuent pas à l’intrigue, ils peuvent être lus comme créant cet effet de réel. Ce serait donc en raison de leur trivialité que ces prix sont source de « réel. » En effet, la réception du roman par les critiques littéraires de 1835, bien que quelque peu mixte, fait l’éloge de l’impression de réel que le romancier parvient à provoquer chez le lecteur. Le 8 mars 1835, L’Impartial affirme que la description de la pension Vauquer « est peut-être de tous les tableaux qu’a jusqu’ici tracés M. de Blazac le plus fidèle, le plus énergique, le plus vivant »12 Le Journal des débats confirme : « M. de Balzac n’a rien oublié, pas même les ordures que déposent les mouches de l’été sur le plateau de fer blanc. »13 Ces commentaires montrent que pour les lecteurs du XIXe siècle, le détail quantifié des prix était une véritable source d’effet de réel, expliqué par Roland Barthes bien des années plus tard.
Le lecteur du XXIe siècle, quant à lui, vit une expérience pleinement différente. D’une part, il retrouve encore dans le chef-d’œuvre de Balzac une impression de réel indéniable. Dans son analyse Landmarks of World Literature : Balzac’s Old Goriot, David Bellos confirme :
What is of course unusual about Old Goriot is not that it enthralled readers of the 1830s with a representation that could be taken to be just like life, but that a century and a half later it still has the power to convince readers of its truthfulness.14
Si le lecteur du XIXe trouvait en les prix, ces détails ultimes, quantifiés et précis, une source de réel, celui du XXIe ne peut pas en dire autant. C’est même plutôt l’opposé. D’une part, les prix du champagne, des gants et des glorias le distancient significativement du texte en raison de deux cent ans d’inflation financière. Pour lui, rien de moins « réel » qu’une bouteille de champagne ou qu’une paire de gants chics à 6 francs, moins d’un dollar américain. Les prix, qui quantifiaient au XIXe siècle le « réel » du texte en accentuent ici l’âge, ou bien l’écart avec la réalité actuelle. Comment donc comprendre que Le Père Goriot nous semble, tel que l’affirme Bellos, encore bien « réel » ?
Une réponse plausible à cette question se retrouve dans les premières pages du roman, lorsque Balzac formule ses intentions d’écrivain : « Ah ! sachez-le : ce drame n’est ni une fiction ni un roman. All is true, il est si véritable, que chacun peut en reconnaître les éléments chez soi, dans son cœur peut-être. »15 Selon le père du mouvement lui-même, le réalisme serait une science relative, un exercice subjectif. Le « réel » du Père Goriot ne prendrait donc pas la forme d’une tentative d’objectivité, explorée dans les détails abondants et quantifiés comme les prix d’une bouteille de champagne ou d’une paire de gants. Cela dit, pour le lecteur du XIXe siècle, il était difficile, voire impossible, de rencontrer dans Le Père Goriot l’impression du réel dans la subjectivité promise par l’auteur, puisqu’il était noyé dans des détails vraisemblables, réalistes et abondants qui imposaient l’effet de réel de Roland Barthes. Il semblerait donc que l’idée de Balzac, celle de rencontrer en son œuvre la vérité et la réalité en s’identifiant aux personnages, est beaucoup plus réalisable pour le lecteur du XXIe. Pour ce dernier, pour qui la grande majorité des détails minutieusement énumérés par Balzac sont faussés par le passage du temps, le « réel » du Père Goriot est dans cet exercice subjectif. Lorsque les prix semblent absurdes, qu’il ne connaît pas les devises et que la carte de Paris qu’il y lit est depuis longtemps changée, le « réel » s’en voit changé. Il demeure désormais dans l’émotion et dans la subjectivité : on y a accès en s’identifiant aux personnages et en y voyant nos propres dilemmes moraux et sociaux, comme l’avait voulu Balzac il y a deux cent ans.
Si les prix sont dans le style balzacien les détails ultimes, puisqu’ils sont numériques et quantifiés, leurs rôles narratifs ne sont pas nécessairement plats. Notamment, ils servent à établir la hiérarchie économique des personnages, à accentuer leur déchéance et à créer l’effet du réel expliqué par Roland Barthes lorsqu’ils sont rapportés de façon triviale à l’intrigue. De plus, si le lecteur du XIXe siècle constatait le réalisme de l’œuvre à travers ces prix sans fonction narrative évidente, le lecteur du XXIe siècle, lui, connaît une expérience contraire : puisque les prix ne sont plus applicables à la réalité de son siècle, l’effet du réel laisse place plutôt à un « réel » retrouvé dans l’empathie. Ainsi, cette expérience du « réel » est celle que désirait Balzac lui même en écrivant son chef-d’œuvre. Il semblerait donc que le projet littéraire de Balzac ne se soit exaucé pleinement que bien après la mort de l’auteur, quand la multitude détails propres à son style étaient expirés et ne déconcentraient plus le lecteur de la teneur morale du roman. Le but de Balzac, moins évident pour les lecteurs de son époque, fait donc parti de la réalité du lecteur 200 ans après la rédaction de ce fameux roman. Pour retourner à la question initiale, cette discussion propose aussi une réponse à l’obsession actuelle de notre génération pour la téléréalité : plus qu’une recherche de vérité objective, c’est dans la subjectivité que réussit ce nouveau genre d’émission. Ses spectateurs ne ressentent pas le besoin de cataloguer leur monde dans ses moindres détails, ils sont tout bonnement à la recherche, peut-être, de guides à suivre ou des contre-exemples à éviter. Et ce désir est ardent au point d’accepter une téléréalité faussée, vidée de sa promesse de « réel, » remplacée par une permutation étrange du genre romanesque. Ceux qui clament que la téléréalité entrainera la mort du roman ont peut-être moins raison qu’on le croit. Dans les mots de Balzac, sur nos télévisions, All is true, et il a peut-être plus de valeur à ce « réel » télévisé qu’on lui permette.
NOTES
- Balzac, Honoré de. “Lettre à Mme Hanska Du 11 Mars 1835.” Cité dans Père Goriot: Anatomy of a Troubled World. Par Martin Kanes. New York: Twayne, 1993. Page 12. Imprimé.
- Balzac, Honoré de. “Le Père Goriot.” Le Père Goriot: Texte Intégral Informatisé. Ed. Calmann-Lévy, 1910. Web. Consulté le 18 février 2013. <http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Père_Goriot>.
- Ibid.
- Ibid.
- Ibid.
- Ibid.
- Ibid.
- Ibid.
- Ibid.
- Barthes, Roland. “L’Effet De Réel.” Communications Vol. 11 (1968): Page 84. Imprimé.
- Ibid. Page 88.
- L’Impartial du 8 mars 1835. Cité dans Billot, Nicole. “Le Père Goriot devant La Critique (1835).” L’Année Balzacienne 8th série. (1987): Page 107. Imprimé.
- Le Journal des débats du 13 avril 1835. Cité dans Billot, Nicole. “Le Père Goriot devant La Critique (1835).” L’Année Balzacienne 8th série. (1987): Page 107. Imprimé.
- Bellos, David. “The Achievement of Old Goriot.” Honoré De Balzac, Old Goriot. Cambridge (Cambridgeshire): Éd. Universitaires Cambridge, 1987. Page 47. Imprimé.
- Balzac, Honoré de. “Le Père Goriot.” Le Père Goriot: Texte Intégral Informatisé. Ed. Calmann-Lévy, 1910. Web. Consulté le 18 février 2013. <http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Père_Goriot>.